Vous êtes sans Âmes Affablement lent! Sans aucune notion De la musique du Diable! Pas de base, pas de vie Pas d’compléments. Pas pour rien que tu meurs Par en dedans. Poseurs de merde Retiens rien de Nuit. Car pour toi Ça ne sera Que des ennuis. Face à l’incompréhension De la musique Trash. Tu n’es clairement pas À ta place! Nous te tuerons Nous qui croyons, Que la musique du Mal N’a pas d’ambition. Ta Mort, La Guerre te surprendra. Toi qui ne comprends rien jusque là. Nous viendrons te prendre Sans tenir compte. De ta vie de merde ou Rien ne se raconte.

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J’ai la peur qui m’habite. Le couteau entre les dents. Sombre Ciel reviens-moi. Sombre Ciel.... La Neige du Diable n’est plus. Tournés en eau ces Démon Blancs. Noyés de peur par les Démons Noirs. Sombre Ciel vous tue! Tard dans ma Nuit (SAAALE) Je rentre à la Maison (NOIIIIIRE) J’entend cette glace (CRAQUER) J’entend le bois (SE FRACASSER) Cette Horriblité, c’est la magie Noire. Crane célèste morbide, dans sa gloire. Oh quand les gens dorment... Ils ne savent pas ce qui gronde.... Têtes rampantes pendant ton absence. Sourd d’un bruit court T’as aucune chance. Fantômes surveillants les décombres. Chauve-Souris mortes, Maison Noire Sombre sort. Sombre Ciel, où tu vas? Ne me laisses pas seul, dans la Nuit. Maison Noire, pénible lueur. Grincements lourds, violons tueurs. Une lumière brulée Jamais n’éclairera. Une vie de mensonges Terrible pénombre. Des yeux Noirs te regardent. À travers La Nuit, Soeur du Mal. Tristement vous, tristement fous. Horreur d’un passé, Cancer ton présent. Maison Noire, Routinière abbatoire. Un peuple, une patrie, Aux rêveurs morts. Une lâcheté pure vers l’adoption sale. Yeux vides et vitreux, voire, Même creux. C’est le Mal qui t’agace. Vite reviens prendre sa place. Maison Noire, Sombre Ciel. Plus rien ne va, Sournois dégel....

Tombe la Nuit Le coeur s’éveille Un noir soleil Nous éclaircit, Le moindre bruit Frôle l’oreille Et le réveil D’une autre vie Dévoile le seuil De notre oubli. Tombe la Nuit Le coeur s’éveille Le moindre bruit Chante le deuil Des jours enfouis. Sombre Ciel. Une lueur sinistre Lentement se faufile Entre nos draps pétris, Les étreintes se figent, La fête de nos corps Est bien finie. Il ne reste qu’un écho Du vacarme des baisers, Du fracas des soupirs, Nous devenons, déjà, Nos propres souvenirs: Nous voilà nus et humbles Comme au seuil de la Mort. Sombre Ciel. Ou donc te trouves-tu? Mon horloge, les rêves. Ma boussole, c’est la Nuit, Des hypothèses humaines. Qui traversent les déserts Aux longues caravanes Je ne prendrai plus part Tous les itinéraires. J’ai désormais brouillé Mes cartes de navigant Il y’a déjà longtemps Ont coulé Dans mes fleuves circulaires, Mon astrolabe inverse Vise mes profondeurs: Voyage en solitaire D’un éclair perdu Dans les banlieues du coeur. Et toi, ma peur, Ma Nuit, Ma femme, Ma trace de Ciel... Fernando Lleras De La Fuente (1947)

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Fière allure, noire parure. Pensées troubles, meurtres qui urgent. Tristement vous, ma rage purge. Cette violente foudre s’exprimant Comme un 12 coupé t’explosant. Ta sale gueule! Éclairant gravement Ton manque de jugement. Armé, cotes cassées. Coups de matraque Tronches qui éclatent. Et boom, v’là ton nez qui craque! C’est ton arrogante honte qui te frappe! Train roulant, je saute en m’agrippant. De mon village, comme un sauvage. Je te traquerai, comme le Soleil. Qui chaque jours, traque la Nuit. Nous sommes à chaque instants, Toi et moi, moins distants... Mon souffle et mon coeur, m’indiquent. Qu’à chaqu’un de ces battements. Il carbure en toi.... L’essence d’une peur qui gronde. Qui te glace le sang! Un tueur la Nuit. Perforant ton Esprit. Train d’acier, villains cris. Te rappellent qu’un bon jour Ou une villaine Nuit. Je serai chez toi, derrière toi. Pour te dire, que ce train Qui hurlais tard le Soir. T’annoncerais, comme promis. Ce solennel sort, Qu’est ta mort! Gloire ta Mort sales rats! Train qui roule! Tranche ton corps! Lune qui bouille cette haine qui sort. Roues qui broient ta chaire de porc. C’est maintenant l’heure de ma victoire! Oui c’est ton imminente mort.

Quand tu t’attacheras ta corde, Ou que tu décrocheras ta sœur. N’oublis pas la lettre pour ton fils. Pour qu’il n’oubli jamais Cette honte sans colonne. Qu’étais la tumeur Qui lui servais aussi de soeur. Fuck you, les soeurs ******! Vous méritez d’avoir été violées. Par votre père et votre mère, Tout les jours de votre passé. Cordes toi! Perdant aux allures de clone. 40 ans, encore chez maman. Quand tu encules ton chien Cyclone, Penses-tu toujours à Mère-Grand? Ces souvenirs acides de ta jeunesse Où tu adorais te faire pénétrer les fesses. Violeur au coeur d’or, t’es maintenant Un immonde pédophile prêt à se corder. Le Looser ici c’est *****! Cordes toi! Poseurs de merdes, voleurs de bands. Pour la vie je vous salirai. Cordes toi ******* Ké! Dans cette boucane, éclate ton crane! T’es un sans Âme, t’es une pute frêle. Ta vie n’est que le reflet, de mes déchets. Meurts Ké! Cordes toi! ***** *****, arrêtes de Kranker ton allure. D’homme gay refoulé par parure. T’aimes bander devant ces cendriers? Tu les aimes bien ornés. Ceux qui, Crasseux, dégoutants, puants, Ou sortant d’un party! Enculeur de Mégots, cigarette porno. C’est plus fort que toi... à chaque fois. C’est la même putain d’histoire. T’éjacules dans ce foutu cendrier. Aucun respect pour KKKevin *****! Cordes toi! Cette année la mascotte de la corde, Est sans équivoque ce roux jamais sobre. ****** ta corde! Cordes toi sale roux! T’es masqué comme tes antifachistes. Tu n’es rien d’autre qu’un lâche Ah oui t’es roux. Un roux lâche et pédé. Devant ton écran gonfle ta force. Mais devant ma sale tronche TU DÉGONFLES!!! On se reverra bientôt mon cher bozzo. Et ta fête sera grande. Mais saignant de ta geule, Elle, elle va pendre. Cordes toi trou de cul roux. Cordes toi sale roux. Cordes toi et ta mère, mon ******. Non n’éjacules pas dans sa bouche, Car tu es live, on te regardes. Cher *******, ne soit pas si triste. Je sais bien que Ce ne sont pas tes coulisses. Qui s’échappent et coulent Le long de sa cuisse. Quand tu nous as quitté hier soir Pour aller dormir comme un petit père. Tes amis, en ont tous profités. Pour biensûr, la souler. Ils ont tous défoncés ta femme. Un à un sans remords, le sperme sort. C’est la traditionnelle tarte à la crème. Cuite à point comme tu les aimes. Vers 4h elle est allée te rejoindre. Comme un enfant, tu dormais. Comme un enfant, tu mesurais. Pour te réconforter, elle s’est dépêchée. Mais elle n’avait pas essuyé Ce coulis amical et chaud Que t’avaient servis tes amis. Ne soyons pas secret je vais te le dire. Ils étaient 13 hier soir Sans jamais la nettoyer. À sodomiser et baiser ton bébé. Bonne Nuit mon *******! Cordes toi!

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Pour une vie gachée Tu ne seras jamais pardonnée. Ton vrai jour, ta vrai Nuit Monstre horrible au masque Soleil. Cancer lent frappe ton corps. Cancer chaud éclate ton homme. L’âme pourrite j’ai sus garder. Mais jamais toi, tu ne l’accepteras. Tu me souhaites cette mort Par Le Feu? Oh délirante scène, peau triste fondante. Mes yeux fous te regarderont. Te sentir jouïr, de me voir mourrir. De toute ta haine, tu me détestes tant. Masque Soleil, cachant ce Sombre Ciel. T’as tout perdu, ta famille, tes amis.... Jusqu’à la mort de ta mère. Dans cet éclat final De haine démesurée. Tu sombrais dans mon Coeur noir. Dans une mort infinie, Pourrissant pour la vie. À jamais... Toi qui fut autrefois, Ma moitié que faussement J’aimais... J’ai regretté ma Sale Nuit. J’ai regretté ma Sale vie. Mais maintenant je vie bien. Dans cette éternelle Truie ta Nuit. Je resterai à jamais, Sombre Ciel, si villain. À toi mon ancienne vie, C’est Ta Sale Nuit. Au revoir ma Julie.

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Complot autodestructeur, Auto-mutilation dosée Camoufler les honneurs D’un voile contaminé Confiance à toute épreuve Dans l’ombre le ventriloque oeuvre Séduisante béquille Dilatation des pupilles Cerveau surpuissant Tout les sens amplifiés Couteau à double tranchant Schizophrénie ou vérité? Lentement les questionnements Sabotent le jugement. Le Mal, fidèle spectateur. Ton Esprit dérangé, seul acteur. Chuchotements inaudibles Visions impossibles Psychose provoquée Paranoïa orchestrée! Poupée effrayée Ou assassin sans pitié? Tourments et trahisons Sournoise manipulation. Les ficelles que l’on tire Injectent ton délire. Preuves invisibles Malade mentale incredible Avale ta pilule Capitonnes ta cellule Les paris sont ouverts Sauras-tu y voir clair? Entendre raison Éviter la prison. Personne n’y crois Sombre fou pointé du doigt. Seul contre tous Allumes ta roche, tousses. Chef-d’oeuvre inachevé Aucun sang versé. Le calme reviens Silence enfin. Plaider la démence Épargnant la potence. Assieds-toi, ouvre une bière. Une autre ligne Devrait faire l’affaire. Interminable attente, D’une mort imminente.

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Posers de merde! Ces posers aux yeux vides. Injustice en chiffre Seul contre tous. Le Clan des Malmort! Le Clan Malmort. Vieux chums, bons souvenirs. Les posers restent! Pour anéantir..... Lâches! Traitres! Menteurs! Meurs! Cris de Mort signés Malmort. Un valeureux combat, noble. Une horde de malheureux... Abandonnés. Avancez! Avant... De régresser! Persévérez! Lâches! Traitres! Meurs!!! Bien installée et là pour restée, La Sale Nuit, est bien réelle. Tous à vos postes! 3-2-1 et feu!!! Bienvenue à n’importe qui, Qui voudrait s’essayer. Ta tombe, tu la creuseras. Toi même. Avec ta pelle. Ton trou, creuses. Allez creuses! Ton trou Ta propre tombe. Jamais mieux servis Que par sois même. S’applique très bien Lorsque l’on sème La Haine. Notre chemin, c’est nous même Qui le traçons Sans tenir compte Des pathétiques réactions. Suivant seulement Le sentier... Du Diable! Sachant très bien, À quoi s’attendre. Les invités d’Honneurs, C’est vous! On vous attends. La Sale Nuit, c’étais elle? NON! C’est nous, Le Diable. La Vieille Capitale Tu m’as menti. Peurs! Faiblesses! Mensonges! Trahisons! N’étais hélas Pas ce qu’au départ, M’avait séduit.... La médiocrité habite maintenant Cette ville de renom... Cette ville, ma Mort. Merci pour tout, mais c’est fini. Meurs!

Arrêtez de me donner De l’importance. Vous êtes comme des coquerelles. Sous chacun de mes pas. Vous explosez de joie. Par mes Docs Martens. Vous juterez jusqu’au dernier. Car marchant d’un pas ferme, Je n’aurai rien vu De cette scène, joyeuse scène! La scène de ta mort! Plume à Mort tard le soir ou Nuit à ta vie sans nous dires merci. Je serai là pour ta Mort. Debout sur le cercueil, À chier sur ton corps. Coupes tes veines. Exploses ta cervelle. Sautes dans le vide. Creuses ta tombe. Pour le reste de vos jours. Vous vivrez en cauchemar. Cette glorieuse mort, Encore et encore. La Sale Nuit vous démoli. On est vos pires ennemis. Vous juterez sous nos bottes Reines des Putes, Roi des garces, Vous n’êtes pas mieux que mortes! Chiures et vomissements, Juterons de votre explosion. Craches ta tombe!

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Voyageur vers le Néant Le coeur engendre sa chute. Tout mot est trace de sa peur. Éclair Qui en vain dénonça Nos tremblements Et gît enfin. Peut-être la mémoire Cette sorcière de la Nuit Nous protègera-t-elle. Partir est le seul espoir. Plus loin, plus près -Qu’importe!- Personne n’a lu les cercles éphémères. Le rêve multiplié: Franchir la porte La grande porte de pierre Fondation de l’énigme Et retourner au fond de la Nuit. Lune de Bois! Coupée Tranchée par la hache. Lune de Bois! Couteau aiguisé Coupeur tueur! Lune de Bois! Arbalète chargée Perforation du coeur! Lune de Bois! Pelle creuse ton trou Dans l’ombre d’une tombe. Lune de Bois! Tronc pourri tombe, Ciblant sa tête catacombes. Lune de Bois La bouche mord la terre Elle cache la peur. Le regard interroge Efface des croix Oublie des noms. Arrive parfois jusqu’à nous Le fragment triste D’un dieu pulvérisé Qui nous appelle Et qui a effacé la trace. Tout est fatigue Rêverie Ébauches D’une Lune tardive. Personne ne nous a dit, personne Que nous venions À cette douleur Et nous y voilà. Pour cette Lune de bois. Amparo Osorio (1983)